sur le bord du vivant
Texte-manifeste du mouvement symbiotique, pour abolir les polarités, les frontières à l’intérieur et hors de soi, pour énoncer le mot-matière et le corps-énergie comme corps graphique autonome et libre, ce poème est aussi un texte-plaidoyer pour une écologie intérieure en articulation avec l’écologie environementale afin de ne plus se poser en propriétaire-dominant-destructeur de soi et de la planète Terre mais en locataire-passant-façonneur.
Un texte à lire, à sonoriser, à danser.